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UP for Humanness répond à une attente forte qui concerne toute la société : elle permet de relier les personnes, de favoriser la rencontre par l’attention aux fragilités de l’humain.

Philippe Pozzo di Borgo

Entrepreneur & écrivain, parrain de UP for Humanness

Diversité des expériences humaines

UP for Humanness est née, en 2016, de la rencontre de personnes en quête d’une réponse à la question : comment peut-on construire un monde plus humain ?

L’expérience nous a appris que les initiatives inspirantes sont nombreuses et qu’elles mettent en valeur la diversité des expériences humaines. Nous avons perçu le besoin de les faire se rencontrer pour leur donner plus d’efficacité et de rayonnement.

La rencontre de l’autre

L’ouverture du monde et les développements rapides de la technologie créent un changement d’époque. En effet, la crise écologique et l’exclusion ne sont pas deux problèmes de plus. Ce sont de précieux signaux d’alerte : la vie de chacun est transformée, le sens de la société est interrogé.

La recherche de l’épanouissement de soi, qui est le moteur de nos entreprises individuelles et collectives depuis le XVIe siècle, n’est plus soutenable. C’est pourquoi nous sommes appelés à chercher dans la rencontre de l’autre le chemin de l’accomplissement de soi.

UP for Humanness a pour finalité d’engager une action sociale pour les personnes plus fragiles, et d’élaborer avec elles, au-delà des exclusions, des pratiques et des politiques nouvelles qui participent à la construction d’une société plus humaine.

Avec l’aide de notre réseau, nous avons défini des objectifs adaptés pour accompagner les acteurs et les futurs acteurs à comprendre et à vivre leurs responsabilités. Nous avons mis à l’épreuve du réel une méthode souple et innovante : servir, s’inspirer, chercher.

sans abri faisant la manche dans le froid

Dates clés

Du concept à l’action

Humanness ?

Idéogramme « ren »

Aussi bien sous sa forme ancienne de l’époque confucéenne que sous sa forme rénovée de l’époque Song, le confucianisme s’appuie essentiellement sur les deux piliers que sont pour lui la morale du Ren (vertu d’humanité) et la pratique des rites.
Le mot Ren est un terme spécifique, probablement refaçonné par Confucius lui-même dans sa forme idéographique classique, laquelle se compose du pictogramme de l’homme, pris comme radical (ce qui justifie la traduction par le mot « humanité », au sens de la vertu de celui qui se montre humain), et du chiffre 2, indiquant qu’il s’agit de rapport entre les hommes pris deux à deux.
Dans le confucianisme, la vertu d’humanité est donc caractérisée par la singularisation de la bonne conduite à tenir vis-à-vis d’autrui dans chacune des relations interpersonnelles qui se forment entre individus dans la société, en fonction de la place propre à chacun.

Jean de Miribel et Léon Vandermeersch.
Sagesse chinoise, une autre culture, Éditions du pommier, 2010, p.100.