Nos articles
TENDRE LA MAIN, AUTANT QU’ON LE PEUT
La rue est un monde parallèle
par Axelle Robart, Sébastien Laury, Martine | Autres
N’oublier personne
par Amaury Perrachon | Autres
Chère planète
par Amaury Perrachon | Autres
Est-ce la faute à Descartes si nous tombons par terre le nez dans le ruisseau ?
Cet article défend que Descartes n’est pas responsable des désastres écologiques actuels. Éric Fiat propose de voir l’humain comme un jardinier, respectueux et responsable, plutôt que dominateur. Il appelle à un écologisme humaniste, où l’homme, en tant que gestionnaire de la nature, maintient sa centralité avec une responsabilité accrue envers la beauté et la préservation de la nature.
Propositions pratiques : écologie, concilier urgence et désir d’agir
par Diane d’Audiffret | Autres
Diane d’Audiffret donne des propositions pratiques pour concilier urgence écologique et désir d’agir. Face à l’immobilisme, elle propose de susciter un désir collectif pour un changement durable. Inspirée par Spinoza et Jonas, elle souligne l’importance de la responsabilité individuelle et collective, appuyée par des lois et une vision politique. Des initiatives locales et éducatives, comme l’émerveillement devant la nature et la naissance d’enfants, sont cruciales pour encourager des comportements durables et une philosophie de progrès pour l’humanité.
La seconde main : un marché vertueux… en apparence
par Joan Le Goff | Autres
Cet article, par Joan Le Goff, explore les avantages et inconvénients du marché de la seconde main. Bien que perçu comme écologiquement et socialement bénéfique, il révèle des effets pervers : surconsommation, qualité décroissante des dons, et pollution due aux micro-livraisons. Le Goff prône la sobriété, la réparation et le don de proximité comme alternatives plus responsables.
Le défi écologique : concilier progrès et postérité
par Romain Leroy-Castillo | Autres
Cet article, écrit par Romain Leroy-Castillo, explore la problématique écologique, soulignant que l’écologie ne doit pas être vue uniquement comme un problème mais comme une opportunité de progrès. Il retrace l’évolution historique de notre rapport à la nature, appelant à une philosophie de l’action centrée sur l’Homme et la postérité, plutôt qu’à un immobilisme dicté par une idéalisation de la nature.